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 La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb)

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Vidja Levski
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MessageSujet: La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb)   La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb) EmptyLun 15 Mai - 22:58

La Reine est morte, vive la Reine
enid rowle & vidja levski



30 Mars 1951


Dans les premiers rangs de l’église étaient assis la famille Levski, Vidja avec ses parents, assise entre son père et sa cousine. Quand son regard ne se perdait pas dans les voûtes de pierre, un sourire réprimé au coin des lèvres, c’était sur Galaad qu’il se posait, brûlant de désir et de jubilation. Son seul regret était de ne pas avoir eu accès au cercueil car l’idée de faire sauvagement l’amour avec Galaad dessus lui donnait des frissons d’excitation dans la nuque. Le pire, c’est qu’elle était certaine que le Gallois aurait trouvé cela à son goût également. Un instant, la jeune femme de vingt-et-un ans laissa son regard se poser sur les enfants orphelins de mère. Eliud, d’abord, Eliud qu’elle avait longuement fréquenté avant Galaad, celui grâce auquel elle avait rencontré le futur fiancé. Elle avait aimé être avec Eliud, elle avait aimé être dans ses bras – nue ou habillée – mais c’était terminé, l’idylle adolescente balayée par l’amour et la passion qu’elle éprouvait pour le père. Et puis il y avait les autres… Cyngen, Enid, Gaenor. Elle connaissait un peu les deux premiers, s’entendait même plutôt bien avec la seconde. Jusqu’à ce qu’elle devienne la maîtresse honnie. Vidja n’en avait cure tant qu’elle avait son cher et tendre dans ses bras.

Bientôt, le cercueil quitta l’église et Vidja se leva avec les autres pour le suivre non sans un regard à Galaad. Elle n’avait qu’une hâte : se retrouver seule avec lui. Ce soir. Il lui fallait attendre jusqu’à ce soir. C’était désespérément long… D’autant plus que depuis le début des obsèques, la Bulgare devait rassembler le peu de self-control dont elle disposait pour s’empêcher de retirer ses chaussures, de siffler des airs entraînants, de se tortiller sur le banc, d’embêter la personne devant elle ou même se sauter au cou de Galaad. Toutes ces choses qu’elle aurait normalement fait sans se poser de questions, naturellement. Mais il ne fallait pas. Pas aujourd’hui. Bientôt elle serait libre et dans la lumière aux côtés de son Amour, mais pas encore. Demain. Demain, il sera tout à elle.

La boîte macabre fut mise en terre et on se dispersa entre collations et belles paroles. La mère Levski jeta un regard acerbe à sa fille et siffla dans sa langue maternelle : « Va présenter tes condoléances. » Vidja acquiesça d’un simple signe de tête avant de s’éloigner. Elle pensa d’abord à aborder Galaad, mais elle craignait de perdre toute contenance et de l’embrasser. Aussi évita-t-elle soigneusement le patriarche – non sans lui couler un regard langoureux – pour chercher un autre Slughorn du regard. Eliud peut-être, pour qui elle avait encore de l’affection malgré tout et pour qui elle compatissait. Si Vidja ne regrettait pas l’épouse, elle comprenait que l’on puisse peut-être regretter la mère. Mais ce ne fut pas sur son ancien petit ami qu’elle tomba en premier, mais sur Enid. Enid au regard froid.

La Bulgare la toisa sans ciller alors qu’elle s’arrêtait devant son aînée. « Je suis désolée que tu aies perdu ta mère, Enid. », assena-t-elle avec le plus grand sérieux, le visage pâle et impassible. Mais la Slughorn ne lui répondit pas. Pire, elle regardait ailleurs. Hm, c’était donc là qu’on en était, n’est-ce pas ?, pensa la jeune femme sans trop de surprise. Sans se laisser démonter, Vidja poursuivit par la rhétorique : « Alors on se déteste maintenant. » La jeune femme scrutait les traits de la Slughorn avec attention, attentive au moindre battement de cil, au moindre froissement de muscle.
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Enid Rowle
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MessageSujet: Re: La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb)   La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb) EmptyMar 16 Mai - 0:29

« Qu’est-ce qu’elle fout là ? » Le sifflement s’échappe des lèvres et les billes furieuses vont de la putain de son père et son frère. « Elle n’a rien à faire là, je veux qu’elle dégage ! » « Enid, pas maintenant… ». Pour une fois, une rare fois, c’est son aîné le plus réfléchis des deux et quand il observe sa cadette, il la sait si près d’exploser qu’il l’entraine un peu plus loin, l’attrape par les épaules et l’oblige à le regarder. « Si tu ne le fais pas pour elle, pour maman, fais le pour moi, pour Eliud, pour Gaenor. » Sous les larges paluches, il sent le corps maigre d’Enid tendu à outrance de colère et la sent vibrer de rage. Les mains pressent les clavicules comme une injonction au calme. Ils ne se quittent pas du regard, son frère l’oblige et la contraint, et jamais il ne la lâche du regard. Les secondes tissent les minutes et bientôt, Enid cède et y consent. Alors il l’attire pour lui et la berce un instant avant qu’ils ne se séparent. Enid se compose une tête grave de circonstance et rejoint l’allée principale. Elle hoche doucement la tête aux convives débordant d’une sollicitude écœurante tant elle est feinte pour la plupart. Elle-même n’éprouve pas de réel chagrin à la perte de sa génitrice. Si elle s’attarde sur ses états intérieurs, bien sûr qu’en dedans, ça lui tire un peu, et peut-être bien qu’elle a la gorge nouée. Les sanglots de sa cadette la sortent pourtant de sa torpeur passagère et d’un sourire lice et poli, Enid s’échappe pour la rejoindre. Gaenor sanglote dans son coin et personne ne s’occupe d’elle. Son frère suit leur père comme il le faut bien et elle ne voit pas Eliud. Accroupie devant la benjamine, Enid tente un pauvre souffrir rongé par le chagrin et l’impuissance pour réconforter la gamine. « Viens-là, elle lui dit en la tirant vers elle. Ca va passer. » La sensation qu’on lui fouille les tripes à la lame, la gorge pressée et la poitrine oppressée d’un sanglot qu’elle réprime, elle berce doucement sa sœur jusqu’à ce que les sanglots deviennent hoquets, puis reniflement. Elle sent avant de le voir leur père qui arrive. Il ne prétend même pas au malheur… C’est comme de jeter du gros sel sur une plaie ouverte, ça lui pique la colère et le ressentiment. Mais Enid ne montre rien. Enid ne dit rien. Elle arrange doucement la tenue de sa sœur, essuie ses larmes avec les pouces avant de se relever et de faire face, à son tour, au cercueil de Laverna Slughorn.

L’office traine en longueur, on rappelle les qualités de Laverna, celle que personne ne lui a jamais reconnu avant. On évoque quelques souvenirs insipides. Enid veut vomir. La bile amère remonte déjà le long de ses tripes et se loge derrière la langue. Ou alors peut-être est-ce le ressac de la colère froide qu’elle nourrit pour celle qui ne cesse de s’agiter à quelques chaises de là. Les derniers hommages sont proférés, et le cercueil emporté, suivi par le macabre cortège.

Elle déteste ça. Devoir subir les sourires contrits et les condoléances fausses. Mais, c’est son rôle, c’est convenu. Alors, la voix et le ton sont posés quand elle remercie les sorciers qui déambulent dans le manoir d’être venus honorer la mémoire de sa mère. Du coin de l’œil, elle devine la putain Levski et l’espace d’un instant, elle caresse l’idée d’attraper sa baguette pour l’aider à trouver la sortie. A la place, quand Vidja s’approche et qu’elle coule ses mots vains, Enid se détourne comme si jamais la gamine ne lui avait adressé la parole. Elle répond avec déférence à un autre homme quand « Alors on se déteste maintenant. » Séditieusement, Enid se tourne vers la jeune femme, plante ses yeux dans les siens. « Te détester, c’est déjà t’accorder trop d’importance. Je te suggère de décamper de chez moi rapidement. Tu n’as aucun droit d’être ici. Aucune légitimité. Et ce, même si mon père te saute. » Le sourire s’étire et balafre le visage d’Enid, quand ses yeux démentent tout sympathie. Elle pourrait la tuer, ici et maintenant. Elle devrait la tuer ici et maintenant.
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Vidja Levski
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MessageSujet: Re: La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb)   La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb) EmptyLun 22 Mai - 22:40

La Reine est morte, vive la Reine
enid rowle & vidja levski




Elles se jaugent du regard, les deux femmes. La Slughorn de naissance et celle qui en deviendra une bientôt grâce aux liens sacrés du mariage. Vidja sent l’hostilité dans les orbes sombres de la Galloise là où auparavant elle trouvait une certaine acceptation. « Te détester, c’est déjà t’accorder trop d’importance. Je te suggère de décamper de chez moi rapidement. Tu n’as aucun droit d’être ici. Aucune légitimité. Et ce, même si mon père te saute. » Et à son aînée de sourire après avoir craché son venin, si bien qu’un regard extérieur – sans entendre leurs paroles échangées – pourrait croire qu’elles se prodiguaient quelques politesses d’usage avec bienveillance. Les mots de la jeune femme heurtèrent la Bulgare sans qu’elle ne bronche de prime abord. Vidja resta silencieuse quelques secondes sans détacher ses yeux de ceux d’Enid, comme si elle prenait le temps d’assimiler ses paroles, de les analyser, de les tourner et retourner dans sa tête. "Même si mon père te saute", qu’elle disait. C’était bien ça le problème alors. Ou une partie du problème en tout cas. Enid ne pouvait souffrir que celle qui partageait la couche du frère ait si aisément changé son fusil d’épaule pour ronronner auprès du père, brisant probablement le cœur et l’ego du premier. Mais ils avaient rompu. Ils avaient rompu avant qu’ils ne finissent l’école. Pas par hasard nonobstant car déjà à l’époque, le patriarche Slughorn avait semé le trouble dans le palpitant de la Bulgare lorsqu’elle était venue passer deux semaines au Pays de Galles avec Eliud, ce fameux été.

Machinalement, elle triturait le col claudine noir de sa robe, puis pencha légèrement la tête sur le côté alors qu’un léger sourire venait éclore sur les lèvres rosées. « J’ai été invitée. Je suis sur la liste. », rétorqua calmement la Levski d’une voix légère et caressante comme une plume. Elle poursuivit avec la langueur du chat, l’accent slave au bord des lèvres : « Ton père – qui me saute, donc – est le propriétaire de cette maison et il m’a conviée personnellement, d’ailleurs. Tu n’as qu’à t’arranger avec lui et alors je partirai si tel est son désir. »

Elle affichait la tranquillité, Vidja. La tranquillité de celle qui savait qu’elle ne risquait rien. Galaad ne la ferait jamais exclure des funérailles, quand bien même Enid irait lui faire un caprice. Cela la motivait à se tenir correctement aujourd’hui, sans heurts et sans excentricités, afin qu’on ne puisse rien lui reprocher. Cette perspective lui paraissait moins douloureuse maintenant qu’elle avait une motivation pour se tenir tranquille. La jeune femme semblait scanner le visage de sa vis-à-vis du regard, assurée, sans que la moindre honte ne paraisse sur ses traits pâles et racés. Car même si elle compatissait au sort d’Eliud quelque part au fond d’elle, si c’était à refaire, elle ne changerait rien. Quant à Enid… Pouvait-on l’appeler "dommage collatéral" ? Ou bien fouineuse qui se mêlait de ce qui ne la regardait pas, s’imposant dans une parade nuptiale qui n’était prévue que pour trois personnes.
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Enid Rowle
Silencio
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MessageSujet: Re: La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb)   La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb) EmptyMar 4 Juil - 17:23

De faussement impassible, le reflet dans les billes d’Enid devient d’un froid clinique. Son sourire reste poli et les apparences sont sauvées bien sûr. De loin, le premier connard venu ne verrait que deux jeunes femmes échanger poliment comme on le fait bien quand l’une enterre sa mère. Pourtant, le coin des lippes se redresse pour un bref rictus victorieux. Vidja réagit donc quand on évoque sa relation avec Galaad Slughorn, quand on la résume à de bas instincts charnels du patriarche pour une gamine. Presque rien ne trahit la putain, c’est dans l’air ; elles sont, après tout, toutes deux bien trop maitresses d’elles-mêmes pour laisser la chair trahir l’esprit. le corps, trop discipliné, ne dévoile jamais rien des pensées. Mais c’est dans l’air, Enid le pressent aussi clairement que si la sale gosse hurlait ou tapait du pied sur le sol. Elles se scrutent, se jugent et se jaugent, et les mots sont balancés comme du poison. Mais Enid retient un petit rire quand l’autre la met au défi d’impliquer Galaad. « Oh, mon petit... Tu as besoin que papa te protège ?, réplique-t-elle, une tension polaire dans le fond de la gorge. Je te donne une minute pour récupérer tes affaires et partir. Tu vois Galaad, ici ? Non, moi non plus, et c’est dommage. Sans lui, c’est mon frère -elle pointe du doigt son aîné occupé à échanger avec un autre homme – qui est en charge. Devine quoi… il partage le même avis que moi. Mais, pas de panique, je vais t’accompagner. » Séance tenante, Enid attrape le bras de Vidja et avance lentement parmi les convives. Bras dessus, bras dessous, elles traversent la foule et Enid se comporte comme si elle marchée flanquée de la plus proche de ses amies. La tension logée dans la corps de la putain se révèle comme une douce satisfaction pour Enid ; elle découvre les effets dévastateurs de la haine et le baume vain de la mesquinerie. Elle escorte en silence Vidja à travers la maisonnée. Comme elle aimerait que l’autre hurle, se débatte, ou s’agite. Comme aimerait l’humilier fasse à tous ces gens, l’afficher comme la trainée qu’elle est. Enid se repait du fantasme jusqu’au moment où elles arrivent devant la porte du manoir. « Tu connais le chemin, j’imagine. Ou, pour ça aussi tu as besoin qu’on te tienne la main ? » Isolée, Enid sort retire enfin le masque éternel qu’elle porte et s’autorise les traits durs et menaçant. Au fond d’elle, sa magie crépite et s’agite comme lassée d’être trop contenue. Comme l’adrénaline pompée par le palpitant qui se déverse dans le sang, sa magie se réveille en même temps que sa colère, son chagrin et sa rage enfle dans sa poitrine. Et bien sûr, elle connait le sentiment, mais pour une fois, une simple fois, elle ne le réprime pas. Au contraire, Enid le laisse s’installer. Vidja apprendra à la craindre et devra être constamment sur ses gardes chaque fois qu’elle passera les portes de cette maison. L’esprit d’Enid se repait de l’imagine brûler sur un bûcher, jusqu’à ce qu’une légère odeur de brûler la sorte de sa transe. Rapidement, les billes cherchent la source : aux pieds de Vidja, petit à petit, le tapis s’embrase. Si elle régit ? Aucunement. Elle se contente de lui adresser un rictus vicieux. « La porte est derrière toi. »
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MessageSujet: Re: La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb)   La Reine est morte, vive la Reine ☾ Enid (fb) Empty

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