kliment ⊹ i'll follow all the way to the sun

▲Nom : Souvent écorché, malmené par les langues anglaises, HRISTOW se balade sur le palais, inondant la pupille de méfiance, teinté de respect. Descendant d'un HRISTOV légendaire, maître de l'espionnage, de l'information aux compagnons reptiliens, vous êtes les ombres dansant derrière les puissants, vous faites les jeux des secrets éventrés ou soigneusement gardés si jamais on vous en convainc. On se méfie de vous, on se méfie de cette affiliation aux mages noirs portés, soulevés par un héritage si lourd qui est le votre. Pourtant depuis quelques générations, le don de parler aux serpents s'est envolé,  a disparu. On ne sait ni pourquoi, ni comment et on a supplié les Dieux, les Grands Sorciers, jusqu'à toi. Quel dommage que tu sois le plus raté des héritiers Hristow. Quel dommage qu'on soit à deux doigts de te déshériter. Toi, tu as préféré une autre destinée qu'ils se sont entêtés à vouloir, à croire. Toi, tu as préféré la lumière à l'ombre.
▲Prénom :  Il fut un temps où KLIMENT allait de paire avec Simeon, où tu allais de paire avec ton frère. Reflet parfait de l'un et l'autre, tout semblait vous rapprocher de l'apparence jusqu'à cet amour débordant ne souffrant ni de rancune, ni d'infortune. Et pourtant, le temps vous a éloigné, le temps vous a séparé, divisé. Et ce serait un mensonge d'affirmer qu'il ne manque pas à ta vie, qu'il ne te manque pas tout court. Tu t'es simplement habitué à son absence. Et il est ô combien ironique, cynique de réaliser que dés la naissance vous étiez destinés à vivre l'un à l'opposé de l'autre. N'es-tu pas la CLEMENCE quand lui est la force brute, conquérante ? N'es-tu pas l'héritier raté au don convoité lorsque lui est l'héritier parfait sans le don tant désiré, si longtemps recherché ? Il y a comme un goût d'injustice sur la langue en réalisant que vous deviez vous déchirer, vous jalouser, que tout était déjà écrit dans vos prénoms. Et puis, il y a EMIL comme balancer au visage du frère, comme pour lui rappel que tu es le RIVAL invaincu, pas encore abattu. Tu aurais juste aimé être plus que ça, d'avantage à ses yeux puisque, oui, c'est vrai, il te manque ce frère.
▲Date et lieu de naissance : Zora aime compter tes cheveux gris, te taquiner comme pour te rappeler les QUARANTE-HUIT ANNÉES déjà bien entamés, envolés sur ton visage. Les ravages du temps sont là immuable, increvable et les craintes aussi à chaque 28 JUILLET. SOFIA t'a vu naître le premier, tout comme Simeon. Sofia, pourtant, ne te verra pas mourir, te détruire.
▲Nature du sang : On aurait tendance à te penser pur, le sang immaculé d'une de ces lignées tant respectées, enviées. On aurait tendance à te jalouser. Un sourire s'étire à chaque fois qu'on se trompe, à chaque fois qu'on te dit pur. Tu ne l'es pas. Oh que non, tu es de ce SANG-MÊLÉ tant décrié, porté comme une honte par cette branche Hristow reniée, balayée. Pour ces Hristow purs, vous n'existez pas, vous ne respirez pas. Pour tes parents, ton frère, vous travaillez à vous repurifier, à être de nouveau digne d'eux. Si seulement, ce grand-père n'avait pas fauté, n'était pas tombé pour une mêlée. Si seulement, vous étiez encore respecté. Toi, tu hausses les épaules, n'en ayant clairement rien à faire. Le cri de ta naissance valait bien celui de n'importe lequel rejeton pur ou impur, ton sang coule toute aussi rouge que ceux de cette famille qui vous regarde avec dédain, mépris. Mais l'ambition dévore, l'ambition croit qu'il faut être pur pour être respectable. Un rire quitte toujours tes lèvres, elle est bien belle la naïveté.  
▲Profession : ANCIEN AUROR, la magie te brûlait les doigts, habitée par un combat contre les forces des ténèbres. Tu es de ceux à avoir tant lutté contre les Grindelwald, les Voldemort. Tu es de ceux à t'être effondré avec Dumbledore, forcé de fuir pays, famille pour t'engager dans le combat. Tu aurais pu rester, t'agenouiller, tu n'en as rien fait. Toujours, tu fais ce qui est bien, juste, moral, en te foutant du prix à payer, à sacrifier pour tes convictions. Tu as été MEMBRE DU CONSEIL DES LUX, siégeant au sommet pour orienté le mouvement de résistance. Tu es de ceux à avoir voté en faveur de Clayton, lui remettant les plein pouvoirs, en grinçant des dents, en grimaçant. Aujourd'hui, tu es devenu PATROUILLEUR, surveillant l'endroit qui est devenu votre foyer. Et il y a comme de l'espérance à patrouiller, à espérer qu'elle revienne.
▲Statut matrimonial : L'alliance est lourde à ton doigt, brillant de serments datant d'une dizaine d'années. Tu l'as épousé sans un seul regret, sans un seul regard en arrière pour ton frère et tes parents. Ils ont pourtant tentés de te faire changer d'avis. Tu ne pouvais pas épouser ça. Tu ne pouvais pas aimer ça.  Et pourtant ce ça dégoûté, choqué dans leur bouche, c'est ta femme, ta merveilleuse femme. Elle est belle à en crever dans les lueurs de ses yeux clairs, incendiaires. Elle est belle dans cette jalousie. Et tu jures que tu l'aimes et tu jures, si c'était à refaire, tu renouvellerais tes serments sans hésiter, sans trembler. MARIÉ A ZORA HRISTOW NÉE MATEEV, tu es et tu seras toujours. Et tu sais, malgré tout ce qu'ils disent, qu'elle est encore en vie, qu'elle est encore là. Et tu es prêt à tout pour la retrouver.  
▲Ancienne maison (ou école pour les bulgares) : DURMSTRANG n'est pas connu pour être l'école des tendres, des doux. DURMSTRANG n'est pas de celle à plier le genou avec ses rumeurs qui lui collent à la peau, qui lui colle au coeur. Ton école a été celle des moqueries, de la magie offensive, des coups bas. Mais elle a été aussi le théâtre de tes amours défendus, de ta liberté assumée, affichée, te condamnant au statut d'héritier raté, imparfait balayé par cette fragilité détestée. Qu'importe, tu remercies DURMSTRANG de t'avoir formée, façonnée, dessinée. Après tout, n'est-ce pas elle qui t'a montré qu'il y avait d'autres destinées à embrasser, des milliers de possibilités à envisager ?
▲Patronus : D'un expecto patronum, les fils d'argent s'échappe de la baguette, formant le terrible OURS BRUN. Dressé sur ses deux pattes, il est en Bulgarie, l'ancêtre des hommes, s'élevant en Dieu féroce, brute. Tu es toujours fasciné quand il brave les détraqueurs qu'il les déchire d'un coup de patte, d'un hurlement terrible. Et certains savent bien quel souvenir le rend plus fort, plus avide de protéger, défendre l'être aimé. Certains ont bien réalisés que depuis ton mariage, le patronus a pris plus d'assurance, de puissance. Certains s'en amusent, tu contentes d'en sourire.
▲Baguette Magique :  LE PEUPLIER est intègre, porté par une morale claire. Implacable, inébranlable, tes allégeances sont certaines, sereines.  La loyauté est gravée à même les TRENTE CENTIMÈTRES : Tu sais ce que tu dois faire, comment le faire. Tu sais qu'il n'y a pas d'autres issues, pas d'autre possibilité. Et tu ne t'inclineras pas. Tu ne faibliras pas non plus. En son sein repose une corne de basilic, ingrédient rare et inestimable, apportant puissance, mauvais caractère à ta baguette. Il paraît qu'elle serait prédisposée à la magie noire, aux arts obscurs. Tu ne lui as jamais fait l'affront d'un tel fardeau, mais elle vibre, s'excite à chaque sort de combat lancé, à chaque duel remporté. Dans doute, voudrait-elle que tu verses plus dans les arts sombres pour lui plaire, lui complaire.
▲Particularité : Il est drôle de voir comme tu détonnes en tant que FOURCHELANG.  Tellement que ceux qui l'apprennent, le comprennent ont les yeux qui s'élargissent, s'écarquillant violemment, brutalement. Tu es si loin de ce qu'on attend de toi, de cette image terrible de mage noir lorsque la vipère se noue à ton bras, sous la chemise. Tu es si loin de ce que les Hristow attendaient de toi. Tu n'es pas de ceux à mettre en esclavage tes amis reptiles, pas de ceux à les condamner à obéir. Ils t'ont autant élevé que tu les as élevé. Certains ne comprennent pas, savent qu'au final, tu es vulnérable aux sifflements, facilement influençable, atteignable. Certains te pensent raté. Certains te jugent imparfait. Tu ne dis pas le contraire, tu laisses les serpents te parler, te souffler des secrets. Au final, on verra bien qui rira le dernier.
▲Amortentia : La potion te prend toujours autant le nez à chaque fois. En premier, il y a les notes boisées, l'herbe fraichement coupée d'un parfum tant aimé. Elle porte toujours cette odeur au creux du coeur, au creux de ses reins lorsqu'elle te susurre des je t'aime sur le bord de l'oreille, sur le bord de vos rêves. La fragrance du le linge propre vient flirter avec la menthe qui te rappelle une maison, un foyer que vous n'avez plus, que vous ne possédez plus. En partant, en abandonnant tout, vous avez accepté cette vie-là de fuyard, mais le plaisir de se rouler dans des draps propres n'a pas été oublié, égaré. Tu te dis juste que ce sera pour quand vous aurez gagner, quand vous aurez tout raflés.
▲Epouvantard : La pire peur, la plus horrible frayeur est aisé à deviner : Tu as peur que ZORA MEURT. Elle est accrochée, scotchée au coeur en monstre vorace, tenace. A chaque fois, la jeune s'étale dans un ballet de cheveux blond, froide, recroquevillée comme une poupée désarticulée. A chaque fois, il y a l'horreur de se retrouver seul, d'être seul. Parce qu'un peu malgré toi, malgré vous, il n'y a qu'elle qui compte vraiment, totalement. L'hybride t'a arraché, depuis longtemps, ton coeur et l'a déjà emporté ailleurs. Elle n'a laissé qu'un sourire, un rire, un baiser sur le coin de la bouche et la promesse de revenir, d'encore lui appartenir. Et tu as froid sans elle, tu te sens si vide sans elle. Mais elle n'est pas morte, n'est-ce pas ? Elle ne peut pas te laisser, t'abandonner, hein ?

D'abord, il y a cette image de PRINCE CHARMANT SUR SON BALAIS BLANC. Un peu trompeuse, tu as ce sourire solaire, incendiaires, ses manières polies qui ont couturés ton éducation., qui font tanguer le monde à tes pieds. Il est rare qu'on se méfie de ta chaleur, de ton grand coeur.  Il y a même un surnom qui tourne mi-amusé, mi-soulagé sur les lèvres : Charming. Après tout, tu as tout de ces êtres charismatiques & dynamiques. Le sourire jongle au bout des lèvres, l'humour est facile, un peu imbécile. Tu sais saisir les coeurs en plein vol, les ramenant au plus près de toi. Chef écouté, respecté, salué, tu sais bien que tu triches un peu. Tu les manipules, évidemment. Avec un peu plus de facilité, tu arrives à les appréhender, à les guider, à les emmener où tu veux. Pour eux, tu es accessible, invincible. Tu te soucis d'avantage d'eux que de toi.  La MORALITÉ RESTE DROITE, SANS AUCUNE FAILLE. Tu n'es pas de ceux à user d'extrémisme, de sorts bas, cruels. Tu tiens droit, fier, fort. Tu ne flanches pas, tu ne te trahis pas. Ce n'est pourtant pas la colère ou la violence qui te l'interdit. Sombrer, tu affirmes que ce n'est que pour les lâches. D'impardonnables, plus jamais tu n'useras.  Et ta morale est simple, claire, stricte. Il n'y a pas à diverger, à discuter. Tu as décidé, c'est ainsi & c'est tout. La guerre n'autorise pas tous les coups, la guerre n'autorise pas les pertes civils. Que  cela plaise ou non aux tiens. A bien des tords qu'on te dessine, on avoue sans mal que tu restes fort, inébranlable, intouchable. Tu es de CEUX QUI COMBATTENT ÉTERNELLEMENT, QUI NE S’ARRÊTENT JAMAIS VRAIMENT. Tu ne sais d'ailleurs pas comment faire. Tu as été entraîné pour  gagner à la force de sa baguette, de tes poings.  Rapide, instinctif, impulsif, tu déstabilises par un jeu du chat & de la souris où tu es toujours le chat. Tu t'es fait duelliste de génie au style explosif & instinctif, rodé par les années. Tu t'es fait plus dangereux que certains l'imaginent, le devinent. Et bien sûr, tu triches grâce aux serpents qui savent faire des croche-pied ou se jeter sur tes ennemis, bien sûr, tu es excellent stratège dans le jeu des coups. Les années ont laissés leur traces. Il y a quelques années, il n'était pas rare de te trouver la clope au bec, le regard chaleureux & l'humour plus que douteux au coin des lèvres. L'odeur de menthe te manque encore & le sevrage est toujours un peu difficile. Au départ, c'était juste pour contrôler le stress & la pression quotidienne & puis c'est devenu une véritable addiction, une obsession. Les premiers effets du manque se font toujours sentir après avoir fumé comme un pompier le peu de cigarettes sorcières que tu trouves ; mains tremblantes, humeur maussade. Le chocolat, c'est Zora qui t'en a donné le goût, cependant il a toujours meilleur goût entre ses lèvres.  Le corps est marqué par les stigmates du temps. Les rides creusent le visage en gouffre d'expériences, d'impertinences. Le temps n'est pas ton ami, tu le sais bien. Et tu as horreur qu'on te le rappelle. Tu en fais un complexe, une source d'agressivité illimité. Tu as compris que tu étais vieux, maintenant, ça suffit, merci. La vie de fuyard n'a fait que renforcer ta musculature, même si elle est plus sèche, plus raide sous ta peau. La faim ne t'a pas épargné & tu as perdu de manière drastique du poids. Tu le dis avec une pointe d'humour ; L'insurrection est le meilleur régime qui soit. Sous ton humour pourtant, le sport a toujours été un excellent moyen de te canaliser & d'évacuer ton énergie. Rien n'a changé sauf que cette fois tu risques ta peau.  Les mains sont glacées jusqu'à l'ongle. Tu n'as jamais compris pourquoi elles le sont autant ; Combien de fois tes ex ont glapis, dérangées par la froideur de ta peau ? Et puis une s'est habituée, en a redemandée. Toi, tu te contentes de dire qu'on ne peut pas avoir le coeur chaud sans un petit tracas. Tu as pour principe d'être toujours honnête, quitte à en devenir blessant. On trahit ça pour de l'humour un peu vaseux. On te pardonne avec un sourire alors que tu es si facilement détestable, que tu veux être détestable. Tu t'amuses à piquer au vif les sentiments, à piquer au coeur, les amours toujours avec une politesse feutrée, mesurée, toujours avec le sourire. Tes connaissances sont souvent très précises, toujours incisives. Tu n'aimes pas avoir tord, tu n'aimes pas ne pas savoir. Et ton sens du détail n'en est que plus grand & intransigeant. Observateur &  calculateur, tu connais exactement les points faibles de tels sorts, de tels maléfices ou bien de tel personnage. Armé d'un esprit de déduction sans faille, tu es quelqu'un de redoutable & tu sais exactement & comment plaire sans le moindre faux pas. Pourtant tes connaissances s'étendent bien plus à l'histoire de la magie, aux vieilles légendes & aux sorts les plus redoutables, implacables qu'aux personnes. Souvent, tu parviens à détourner les autres par ton sens de la répartie, ta culture, tes   voyages. Ce n'est pas pour rien que tu as choisi un métier de terrain. Auréolé de sucés depuis la traques de différents mages noirs, tu t'es taillé une réputation d'auror de génie, de personne à abattre.  On dit de toi que tu es impulsif, fier. On dit de  toi que tu as la chaleur au bout du coeur & des doigts. Célèbre pour ton tempérament accessible &  magnétique, tu es de  ceux qui se  font des amis dans quelques mots. Tu es de ceux tactile. Mais tu es aussi ceux qui ont le coeur bercé par des flammes éternelles &  vengeresses. Tout feu, tout flamme, tu frappes ceux qui te frappe, peinant à contenir une violence qui t'agrippe les  tripes. Tu ne réfléchis parfois pas assez. Tu ne réfléchis jamais assez, préférant ton cœur à ta tête. Mais tu es aussi DE CEUX ABÎMÉS par ce qu'ils ont perdus, ce qui va finir par les abattre. Tu ne comptes plus les amis qui sont tombés, la famille qui t'a abandonné. Tu sais comme il est douloureux de perdre, comme tu ne soigneras jamais vraiment tes blessures alors tu souris, tu ris, tu fais comme si ce n'était rien. Gagner est plus important, n'est-ce pas ? Plus important que CES FAIBLESSES QUI TE CLOUENT LE COEUR telles que ta trop grande gentillesse, ta bonté mais aussi l'amour unique que tu portes envers l'être aimé. Alors pourquoi tu hésites? Pourquoi tu sens que sans elle, tu vas te briser, t'effondrer.
(+ fiche de présentation)