| | Merlin - If you could see me now | |
| | Sujet: Merlin - If you could see me now Jeu 20 Avr - 23:40 | |
| Merlin Nott power and control ▲ Nom : To be or Nott to be, that seems to be quite a difficult question. Il n'est pas facile de porter le patronyme de vos parents quand ils ont été réduits en cendres sous vos yeux, quand la seule personne restant en vie avec lequel vous avez un lien de sang vous échappe totalement. Il n'est pas aisé d'avancer la tête haute, pour redorer un blason noirci par les flammes et des taches de boue semblant indélébiles. Il n'a pas choisi. Mais il compte bien tirer le meilleur parti de la situation. Même s'il doit y passer sa vie. Nott, les érudits, Nott, les puissances de l'ombre, Nott, les guerriers ne sont pas morts dans les flammes ayant détruit leur manoir, ou par ces deux rayons verts funestes. Il en reste un, un qui se bat et qui essaye de préserver ce qui survit, malgré toutes les difficultés. Et si ce n'est pas une place enviable, il ne la céderait pour rien au monde. Car même s'il sauvegarde ce nom, s'il lui rend ses lettres de noblesse ... il est désormais le seul à pouvoir le transmettre. Et mettre des enfants au monde dans ces temps troublés ? Condamner une nouvelle génération de Nott à souffrir comme ils ont souffert et comme ils souffrent encore ... impossible. ▲ Prénom : Merlin. L'amour de l'esprit, de récits épiques, de la belle magie a sans nul doute guidé le choix des parents Nott quand ils ont nommé leur fils. Il ne l'a jamais questionné, se détachant de celui qui aurait pu devenir un modèle, un patron, un exemple à suivre pour décider de forger sa propre destinée, faire ses propres choix, défendre ses valeurs. Même s'il lui est parfois arrivé, il doit bien le confesser, de se demander "qu'aurait fait Merlin ?". Un petit jeu d'esprit qui lui permet généralement de se calmer, de se poser, surtout en cas de décision des plus importantes à prendre. Feu le plus grand sorcier de tous les temps doit sans doute se retourner dans sa tombe à chaque fois. ▲ Date et lieu de naissance : Il a vu le jour le 11 janvier 1922 à Sainte-Mangouste, Angleterre. Il a donc aujourd'hui trente ans. ▲Nature du sang : Mêlé, le sang des Nott n'est plus pur depuis plusieurs générations. Pourtant, il fut un temps où ils étaient au rang de ces familles sans tache, que tout le monde respectait ... et c'est ce que Merlin voudrait retrouver. Loin d'avoir des idées anti-Moldues, il pense simplement que ce serait une manière de réhabiliter son nom et de rendre hommage aux siens en faisant perdurer la lignée des Nott et l'inscrivant dans l'histoire. Ce qui ne sera pas une tâche aisée étant donné les circonstances ... et il est le seul à le pouvoir. Il n'a droit qu'à un seul essai. Il n'a pas le droit à l'erreur. Et il n'est même pas sûr d'avoir la force d'aller au bout. ▲Profession : Difficile d'avoir un emploi stable lorsque l'on se trouve comme lui fugitif. Mangemort à temps plein donc, telle est désormais l'unique profession du jeune. Ancien employé du Département des Jeux et Sports Magiques, il était pourtant promis à une brillante carrière - et faisait tout pour que ce soit le cas. Qu'importe, cependant. Il retrouvera un jour sa place et son rang quand le monde anglais sera purgé de ceux qui l'ont souillé. ▲Statut matrimonial : Célibataire, ce qui est préférable pour tout le monde quand on se trouve recherché. Grand sentimental s'ignorant, Merlin avait pour ambition de réaliser un bon mariage pour redorer le blason de sa famille. Espoir qui s'est envolé en fumée, au sens propre du terme, avec les biens familiaux. Pas évident d'être un bon parti quand vous n'avez plus rien et que votre nom est décrié. Plus jeune, il a enchaîné quelques "conquêtes", toujours honnête et droit, ne laissant rien espérer quand il savait que ce ne serait que pour un temps et uniquement pour s'amuser. Il se peut cependant que son temps, son attention, son corps et un bout de son palpitant soient accaparés actuellement par non pas une, mais deux délicieuses créatures, aussi différentes qu'également irrésistibles. Le temps que rien de stable n'est possible cependant ... pourquoi se poser des questions. Sans attaches et sans étiquettes donc. ▲Ancienne maison (ou école pour les bulgares) : Merlin a fait ses études à Serdaigle, sa soif d'apprendre étant à l'époque prédominante par rapport à son ambition, pourtant déjà dévorante à l'époque. La balance avait failli pensé, mais c'est finalement chez les Bleus et Bronze qu'il est entré et qu'il a rapidement pris ses marques. Son naturel engageant a fait rapidement de lui quelqu'un de largement apprécié, sans compter son engagement jeune dans l'équipe de sa maison. Il ne reste malheureusement plus grand-chose du beau gosse souriant pour qui tout était simple de l'époque. ▲Patronus : Il a toujours pris la forme d'un papillon, sans qu'il ne comprenne très bien pourquoi. Maintenant, peut-être pourrait-il se risquer à faire une métaphore, par rapport à sa vie, à ce qu'elle a été, au cocon qu'aurait tissé l'incendie autour de lui ... mais il n'est guère d'humeur poétique, ces derniers temps. Disons donc qu'il est bien utile, et on s'en tiendra là. ▲Baguette Magique : Bois de pin, 18,5 cm, ventricule de coeur de dragon. Et il s'agit toujours de sa première baguette, qu'il a acquise avant sa première année à Poudlard. ▲Particularité : Le 12 janvier 52, la vie de Merlin a basculé une nouvelle fois. Il a bien cru sa dernière heure arrivée quand les griffes du loup ont déchiré ses vêtements et les chairs recouvrant sa clavicule gauche. Comment aurait-il pu prévoir qu’il allait croiser le chemin d’un lycanthrope dans les rues moldues de Londres ? La Pleine Lune ne l’avait donc pas affolé plus que ça … à tort. Un seul coup cependant, et il avait pu s’échapper. Il ne saurait trop dire s’il s’est battu, si son assaillant avait battu en retraite, s’il y avait eu du bruit … Il se souvient juste de s’être traîné jusqu’au QG, dans un état de demi-conscience avant de se laisser tomber dans sa salle d’eau. Aucune infection, à priori. Il avait cru pouvoir passer au travers de tout. Jusqu’à ce qu’une odeur de viande crue le fasse soudain saliver, alors qu’il s’était mis en quête de provisions, passant devant la devanture d’un boucher moldu. Qu’il ne boude ses steaks, cuits à point à sa demande habituellement. Que certaines odeurs, les parfums des femmes surtout, ne deviennent entêtants. Qu’il entende facilement des conversations qu’il n’était pas censé écouter. Et qu’il fasse le calcul, tout seul, quand rien ne s’était passé à la Pleine Lune suivante, qu’il avait attendu dans la crainte, magiquement menotté dans sa chambre. Semi loup-garou. Une condition qui n’avait rien d’enviable mais … cela aurait pu être pire, il en est conscient. Il tente de dissimuler ses nouvelles différences, dissimulant sa cicatrice simplement sous ses vêtements et ses nouvelles aptitudes soigneusement, comme un atout que l’on garderait dans sa manche pour abattre la carte au bout moment. Et Merlin sait ce qu’il a pu collecter comme informations depuis ... ▲Amortentia : D'aussi loin que remonte sa mémoire, elle a toujours eu pour lui trois odeurs bien distinctes, mais se mêlant à la perfection : celle du cuir de la couverture de vieux livres, puissante, ancienne, rassurante et légèrement enivrante, celle du lilas qui fleurissait dans le jardin familial, odeur poudrée, si délicate et pourtant, pleine de caractère et de couleur et pour finir celle de la pluie ruisselant sur l'herbe, après un long après-midi d'intempéries. ▲Epouvantard : De façon moins que surprenante, un brasier enflamme la pièce dans laquelle Merlin se trouve dès qu'un épouvantard est en sa compagnie. Cet enfer a remplacé les corps sans vie de sa famille ... il ne s'agit plus d'une peur quand 90% de ceux que vous voyiez avant ont déjà été réellement alignés, calcinés, sous vos yeux.i Je jure solennellement de faire usage du sortilège Morsmordre, pour servir ma cause | |
"Parlez-nous un peu de vous. Si vous deviez vous décrire en quelques mots que diriez-vous ?" Je suis le fruit d'un hasard, d'une erreur de parcours. Je ne parle pas de ma venue au monde qui fut désirée, comme toutes celles de mes frères et soeurs. Je parle du parcours qu'a pris ma destinée et que j'ai emprunté, contraint et forcé. J'étais un jeune homme brillant, populaire, avenant, Capitaine de mon équipe de Quidditch à Poudlard, ce sang-mêlé qui imposait le respect malgré son rang de sang inférieur à bien d'autres. J'ai été ensuite l'employé du Ministère modèle, les plus anciens m'appréciant rapidement. Ce genre idéal, ce jeune homme simple et pourtant cultivé. Tout me réussissait. C'était si facile. Jusqu'à ce que tout bascule. Jusqu'à ce que je devienne celui qui avait fui en emmenant une soeur qui n'est jamais vraiment revenue de cet incendie, sauvée par un autre. Ce monstre qui l'a enfermée. Ce jeune homme calculateur, au regard parfois froid, aux calculs de plus en plus compliqués, aux manipulations multiples. A l'espoir brisé. Puis retrouvé. Je suis un patchwork, je suis le fruit d'une expérience de la vie. Je suis un survivant. Je suis un battant. Je ne suis pas mort. Et compte rester bien vivant encore pour longtemps.
« Vous voila devant le miroir du Riséd, que pensez-vous y voir ? » Mon reflet se trouverait dans le manoir familial, entièrement restauré. Il serait entouré d'une femme, belle et aimante, aux traits connus de moi seul, entouré d'enfants (une fratrie nombreuse, comme la mienne). Sans l'ombre d'un danger, sans l'ombre d'une menace. Isidore serait présente, également, avec Dorian et leurs enfants ... une grande, belle famille, unie, sans un bonheur absolu et sans l'ombre du moindre malheur planant au-dessus. Oh, et je porterais une tenue de Quidditch. Parce qu'il s'agirait d'un futur utopique et entièrement hypothétique.
« Par chance, vous vous trouvez en présence des trois reliques de la mort, mais vous ne pouvez en choisir qu’une. Laquelle prendriez-vous ? » Pas la pierre. Je ne peux me résoudre à vivre dans le passé, pas maintenant, pas alors que nous devons avancer sans nous retourner pour tenter d'avoir une chance de survivre, avant même de penser à vivre. Il resterait donc la baguette et la cape d'invisibilité ... L'ancien Merlin aurait choisi la cape sans la moindre hésitation, pour toutes les choses qu'il y aurait eu à en faire, à Poudlard, pour se promener de nuit sans rien risquer, pour espionner ... ce que le nouveau Merlin pourrait faire également. Mais je pense que mon choix se porterait sur la baguette de Sureau ... pour régler efficacement et immédiatement toutes mes dettes. "Grindelwald domine l'Angleterre et la Bulgarie depuis 6 ans en quoi cela-t-il influé sur votre quotidien ?" En quoi cela a influencé mon quotidien ? En tout. Au début, cela a été voir mes parents s'engager dans Lux, mes aînés en parler. Détourner le regard de temps en temps pour pouvoir se concentrer sur l'ascension des échelons au Ministère. Se mordre la langue, mais continuer, en sentant bien que ce n'était pas ce que je voulais. Et puis tout perdre, d'un coup. Les Spanesi et Grindelwald m'ont tout pris. D'un coup, d'un seul, je n'avait plus de famille. Mon nom ne valait plus rien. Traîné dans la boue. Désargenté. Seul. Je vous fais un dessin ? Et depuis quelques temps, résistant. Fugitif. Hors-la-loi. Moi, l'employé modèle. Grindelwald a tout changé, et pour le pire. Mais qu'il en profite. Cela ne durera pas.
"Étiez-vous présent lors des événements de Loutry St Chaspoule ? Si oui, quelle a été votre réaction ? Si non, que pensez-vous de cet attentat ?" Evidemment que j'étais présent. Et il a fallu réagir vite. Et ne rien laisser passer. Il m'a fallu une fraction de seconde pour décider que les miens, ma nouvelle famille avait besoin de moi et que cela ne valait plus la peine de maintenir cette couverture qui m'étouffait un peu plus chaque jour et dans laquelle je me perdais. Les explications musclées avec l'autre brute de Spanesi n'avait pas aidé, j'avais besoin de décharger de l'adrénaline ... et il ne m'en fallait pas beaucoup pour m'en prendre à Lux, qui étaient tout autant responsables de ce qui était arrivé à ma famille. Alors je me suis achevé ce soir-là. Et je suis devenu un fugitif. Mais peut-être n'est-ce justement que le commencement, et non la fin.
| ▲ pseudo ou prénom : Bluefeathers ▲ âge : 26 (on respecte les anciens siouplé !) ▲pays : France ▲ Connexion : 3/7 ▲ scénario ou inventé : Un superbe scéna, je n'ai pas pu résister. ▲ avatar : Max "Sexy Back" Irons ▲ Où avez-vous connu le forum ? : Disons que je me réincarne ... (sorryyyyyyy je reviens parce que je vous aime trop ) ▲ quelque chose à rajouter : I'M BAAAAACK (in black). ▲ crédits : fassylover |
Dernière édition par Merlin Nott le Jeu 11 Mai - 22:43, édité 15 fois |
| | | | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Jeu 20 Avr - 23:40 | |
| Mudbloods and murmursif you could see me nowLe doigt effleurait la peau tendre de l’intérieur du bras gauche. Plus exactement les traits d’encre qui marquaient désormais l’épiderme, de manière irrévocable. La preuve indélébile que les choses avaient changé, que des événements inattendus s’étaient succédés et avaient transformé en profondeur Merlin Nott. Suivant le nœud que figurait le serpent, il se demanda brièvement ce que penseraient ses parents, s’ils pouvaient le voir. Reconnaîtraient-ils seulement l’un de leurs six enfants ? Merlin, en position confortable, quelque part entre les aînés, destinés à de grandes choses, les jumeaux, inséparables et la petite dernière, la plus attachante de toutes ? Il avait toujours eu de l’ambition, ce n’était pas la question, et savait qu’il aurait fini par trouver sa place dans le monde, par progresser, par monter, petit à petit et finir par tenir les rênes en coulisses, comme son père, comme son grand-père avant lui. Mais jamais il n’aurait pensé être un jour le seul et unique héritier de cette lignée qu’il avait toujours chérie. Il n’avait pas choisi. Il n’avait rien demandé. Il aurait voulu couler des jours heureux dans un appartement dans le centre de Londres, avec une femme, sans doute enceinte, à voir Astrid tous les matins, pour leur café rituel dans ce petit établissement sans prétention qui avait été leur quartier général quelques temps. Il serait rentré régulièrement chez leurs parents, dans le manoir familial, où ils auraient débattu pendant des heures, eux, tous, les Nott. La grande et belle famille des Nott, qui n’avait jamais rien demandé de plus que son droit d’exister et de faire partie des grands de ce monde. C’aurait été simple. C’aurait été facile. Mais la réalité avait été bien différente.
Le corps du serpent lui rappela fugitivement ce vieux chapeau qui, son tout premier jour à Poudlard, lui avait susurré que Serpentard serait sûrement plus approprié pour lui, dans un avenir plus ou moins proche. Il n’avait alors pas réellement compris ce qu’il voulait dire par là … mais il comprenait maintenant ce qu’il avait voulu dire. Foutu Choixpeau… Seul l’écho de sa voix lui répondit, dans la chambre qu’il occupait au Quartier Général des Mangemorts. La solitude était une nécessité de temps à autres, parce qu’en public, il ne laissait rien transparaître. Il était facile de lui jeter la pierre sur beaucoup de choses (notamment « l’emprisonnement odieux et impardonnable de sa propre sœur, blanche colombe innocente »), mais est-ce qu’une personne seulement se demandait ce à quoi il devait faire face ? Il n’avait jamais demandé à être en charge de sa famille et n’y avait jamais été préparé. Il n’avait plus personne au monde qu’une sœur si abîmée par les événements qu’elle aurait pu tout aussi bien être morte, à ses yeux. Isidore était morte ce jour-là, avec tous les autres. Mais … lui également. Il pouvait prétendre le contraire, il pouvait se battre autant qu’il le voulait, une partie de lui s’était envolée dans le manoir, consumée par les flammes.
Oublié, cet adolescent populaire qu’il avait été. Un léger rire le secoua alors qu’il se remémorait très bien les attitudes qu’il avait, les airs qu’il se donnait. Il travaillait extrêmement dur, bien évidemment mais avait aussi tous les avantages d’un « golden boy » de sang pur … sans le sale caractère et les réflexions déplacées. Il n’en faisait pas trop non plus … les choses étaient plutôt simples, il n’avait qu’à être lui-même et se laisser porter. Il savait ce qu’il voulait, il savait l’obtenir. Il embêtait régulièrement et discrètement quelques Gryffondors et quelques Serpentards, dans un bon esprit Poudlardien (rien de personnel, ce n’était que le jeu). Il avait déjà un succès certain auprès de la gent féminine, qui ne s’était pas fait prier pour lui trouver des cavalières aux divers bals, et des copines quelques peu « nombreuses ». Non qu’il ait été particulièrement un coureur, il était toujours plutôt clair avec les demoiselles en question. Il ne voyait simplement pas l’intérêt de continuer quand cela n’en valait visiblement pas la peine. La belle vie … La bibliothèque, les jeux d’esprit et le Quidditch, oh oui, le Quidditch … Il n’y avait pas d’inquiétudes, que des certitudes, celle d’être sur le droit chemin. De savoir exactement ce que serait sa vie, ce qu’il deviendrait plus tard, comment tout finirait. Mais bien sûr …
Il se leva, agacé de se retrouver à se parler à lui-même. Il l’avait toujours plus ou moins fait, pour se challenger, pour soulever des opinions qui n’étaient pas les siennes, pour se faire l’avocat du diable. Pour être le plus redoutable possible, pour que son esprit soit l’arme la plus tranchante qui soit. Cependant, il savait bien que ce n’était plus aussi souvent le cas et qu’il se parlait de temps en temps pour s’ancrer dans le présent, pour ne pas succomber à ses démons qui tentaient de l’entraîner vers le bas. Qui le ramenaient là-bas, dans cet écrin de flammes, dans ce brasier qu’était devenue la demeure familiale, en l’espace d’une respiration. Poing crispé, il cala une de ses phalanges entre ses incisives pour ne pas hurler. Il se souvenait de tout, de chaque son, du crépitement des flammes qui le calmait pourtant autrefois, le ramenant dans le petit salon familial, au chaud, en pleine discussion … Ce son annonçait maintenant la mort, la tristesse, la désolation. Tout était allé si vite. Il n’avait pas voulu qu’on le prenne pour un héros. Quand il avait attrapé Isidore … il ne restait plus qu’elle. Il ne restait plus que lui. Ç’avait été un réflexe, réellement. Il fallait qu’il sorte de là, et elle aussi. Mais il le savait, lui. Il l’avait lu dans ses yeux, quand elle l’avait regardé. Ce n’était pas lui qui l’avait sauvée. Il avait vu le geste d’Odilon. Elle avait besoin de son jumeau. Et pas de lui. Ç’avait été claire dès les premières secondes. Ils n’avaient jamais nécessairement été proches, il avait toujours fait son chemin seul, plus proche d’Astrid, qu’il vénérait à sa manière, s’asticotant gentiment avec Lubin. Mais quelque chose d’autre était mort ce jour-là. Une étincelle, celle qui faisait vivre le lien qui existait entre les Nott. Quand elle l’avait regardé … il avait compris qu’elle était morte, elle aussi. Que c’était la fin. De tout. Pour de bon.
CONNERIES ! Il n’avait pas pu s’en empêcher, simplement. C’était parti tout seul. Ses dents retrouvèrent rapidement la marque qui ornait ses doigts alors qu’il tentait de calmer sa respiration. Ils avaient tout, avant. Il avait gravi les échelons, il n’était plus si loin de son but, se retrouver à être le plus jeune directeur de l’histoire du département des Sports Magiques. Il voyait quelqu’un, avec qui les choses se passaient plutôt bien. Et tout était parti en fumée. Bien sûr qu’il savait que ses parents étaient impliqués dans Lux. Et même s’il jouait les employés modèles, il n’aimait pas plus qu’eux ce nouveau gouvernement et avait même assisté à une ou deux réunions de ce mouvement qui, s’il ne le faisait pas vibrer, avait au moins le mérite d’essayer de faire quelque chose. Et là … il n’y avait plus rien. Isidore lui avait évidemment échappé, et il n’y avait pas moyen pour lui de retrouver sa trace (au moins se doutait-il qu’elle n’était pas morte, même si Viona refusait de lui donner la moindre information sur sa localisation). Le retour au Ministère avait été des plus difficiles. Il avait refusé de faire le moindre commentaire, demandant qu’on le laisse faire le deuil des siens, quelles qu’aient été leurs convictions. Hermine … Repenser à elle était au-delà du douloureux. Elle n’avait RIEN fait. Elle était innocente et eux … et eux lui avaient ôté la vie. Et c’était leur faute. A Lux. A ce gouvernement. Aux Spanesi, oh oui, à eux, surtout … Mais il ne pouvait rien faire. Il n’avait plus rien. Quelques amis, si, quelques soutiens, qui venaient d’endroit inattendus pour certains. Il ne perdait pas de vue son objectif. Il s’y accrochait, de toutes ses forces, parce que c’était tout ce qu’il lui restait. Et pour cela, il fallait qu’il rachète le nom de Nott.
Comment faire ? Comment se débrouiller quand vous n’aviez jamais eu l’intention d’être la figure de proue de votre famille ? Que tout le monde était mort, à part vos deux cousines et l’une de vos sœurs qui … qui était on ne savait où. Il entendait des rumeurs, et cela l’irritait profondément. Pendant que lui essayait de reconstruire, pensait même à rebâtir le manoir familial, pierre par pierre, même s’il devait y passer toute sa vie … elle se comportait comme une parvenue. Une traînée de bas étage. Loin d’être reconnaissante. Pas envers lui, oh, non, il n’avait pas cette prétention et savait pertinemment qu’elle se moquait très bien des cicatrices qu’il avait pu garder de son séjour prolongé dans la fournaise pour l’emmener avec lui. Mais pour lui. Lui, ce jumeau chéri qui avait donné sa vie pour qu’elle poursuive la sienne … pour qu’elle … C’était inacceptable. Alors, lassé d’attendre un retour à la raison, il l’avait fait traquer. Il l’avait retrouvée. Et il l’avait faite interner à Sainte-Mangouste. S’il l’avait vue avant ? S’il avait pris la peine de lui parler ? Merlin non …. Jurer de son propre nom était toujours particulièrement étrange. Non. Et on le lui avait reproché à de nombreuses reprises. Et il avait toujours refusé de se justifier. Si le monde devait le voir comme un monstre, qu’il en soit ainsi, il s’en lavait les mains. Qu’on l’aime ne lui rendrait pas sa famille, Isidore comprise. Il n’avait pas voulu se retrouver face à elle, pas après tout ce temps à s’inquiéter pour elle, à se demander si on n’allait pas finir par lui annoncer sa mort (d’une maladie vénérienne, sans nul doute), et il préférait encore qu’elle soit directement morte pour lui. Et surtout … il ne voulait pas supporter son jugement. Il ne voulait pas entendre son avis sur la vie que lui menait, sur ce qu’il s’efforçait de faire. Par peur de ce qu’elle pourrait dire ? Par la certitude qu’elle pourrait lui renvoyer ses propres doutes et faire vaciller ses résolutions ? Peut-être bien. Mais il ne pouvait pas se le permettre. Il ne tenait que là-dessus. Il essayait de se reconstruire, tant bien que mal. Et il était hors de question de mettre cela en péril. Même pour contempler les yeux de sa sœur encore une fois. Mais il lui avait envoyé des fleurs. Pas suffisant ? Sans le moindre doute.
Mais il n’avait pas que ça faire. Dur ? Mais réaliste. Sa famille était devenu un sujet tabou et il le fallait. Déjà pour qu’il se reconstruise et ensuite pour maintenir les apparences. Mais, même si en surface il rentrait dans le rang, il n’avait qu’une idée en tête : la vengeance. Il ne pourrait dormir sereinement que lorsqu’il aurait mis la main sur celui / Celle / ceux qui avai(en)t infligé cela aux siens. Et il progressait, lentement. Discrètement, parce qu’il tenait encore suffisamment à la vie pour ne pas vouloir se faire tuer à vue. Mais seul … seul, il n’avançait pas à grand chose. Se retourner vers Lux ? C’était hors de question. Tout ceci était également leur faute et à la mort de ses parents et de la majorité de sa fratrie… il n’y avait rien eu. Ils s’étaient retrouvés seuls, sans doute se couvrant de l’excuse qu’il ne fallait pas qu’ils se fassent découvrir … mais cela lui avait donné une bonne idée du genre de personnages auquel il avait affaire. Et il n’était pas question qu’il soit le suivant sur la liste, qu’il ne soit que le prochain à y passer pour des idéaux qui n’étaient pas les siens. Sa famille avait été de la chair à canon. Il ne le serait pas. Mais il était bien conscient qu’il ne pourrait rien faire seul. Et il avait perdu espoir jusqu’aux événements de la place Claremont. Les flammes avaient réveillé en lui de vieux démons, et il n’avait eu la vie sauve que par un concours de circonstances mais … quand il avait vu la Marque des Ténèbres dans le ciel, il avait compris. Il avait du user de patience et de ruse pour finalement être mis en contact avec ces gens. Et il avait enfin trouvé la voie qu’il cherchait : celle de la délivrance.
Respirant un peu plus librement, il finit par relâcher sa main. Se retournant vers la chaise où était négligemment posée sa veste, il en tira un paquet de clopes moldues. Une au bec, un léger Incendio plus tard et il respirait mieux. Il se laissa tomber sur son lit. Levant son bras gauche, il admira une fois de plus la marque qui ornait son bras. Ca avait été … une révélation. Il s’était senti soudain apaisé. Il avait un cadre, il avait des buts définis, qu’il partageait avec d’autres. Il obtiendrait ce qu’il voulait au passage. Et rien n’y personne ne pourrait les arrêter. Il pouvait enfin respirer, il se retrouvait dans ce qu’ils voulaient. Il faisait de nouveau partie d’un tout. Ce que ses parents en auraient dit ? Il préférait ne pas y penser. Il aimait à croire qu’ils auraient fait ce choix également, s’ils avaient eu cette alternative à Lux. Et que les choses auraient été différentes. Peut-être. Il était trop tard pour le dire. Il avait continué sa mascarade au Ministère, poursuivant son enquête. Mais il était plus difficile de se concentrer, de sourire. Fort heureusement, son nouveau visage depuis l'incendie était ciselé, et froid, dur comme le granit même si aussi facetté que le diamant. Il n'avait pas forcément à faire semblant. Il pouvait se laisser aller à une certaine froideur, à une certaine sécheresse. Il n'était plus aussi conciliant qu'avant, ni aussi diplomate. Mais ce n'étaient pas des manières contraires à celles du gouvernement en place. Donc tout allait bien ... un temps. Et en octobre, tout avait basculé de nouveau.
D'abord, quand il avait appris que sa soeur, non contente de se compromettre avec un Spaneis, avait en plus l'intention de l'épouser et lui avait envoyé une invitation pour la noce comme s'il s'agissait de la chose la plus naturelle du monde que de se marier avec un monstre. Il n'avait pas mis cinq minutes pour transplaner chez elle et lui dire sa façon de penser. Il se souvenait encore de chaque détail, de chaque parole, du ton assassin qu'il avait pris, de la façon dont il avait parlé de leur famille, de tout ce que ces ordures qui étaient sous les ordres de son fiancé leur avait pris ... et après, marqué au fer rouge, le retour du bâton. La brute épaisse qui avait débarqué. Pour le tabasser à mort. Il avait fait ce qu'il avait pu, mais désarmé, il ne faisait évidemment pas le poids. Et c'était là qu'il le lui avait dit. Qu'il aurait du l'achever avec les autres. Et c'est là qu'il avait compris ... Le hurlement de rage fut étouffé, mais Merlin ne put s'empêcher d'attraper le verre qui se trouvait à portée de main et de le lancer à pleine vitesse contre le mur. C'était cette ordure qui avait incendié leur maison. Qui avait assassiné leurs parents. Leurs frères et soeurs. Et c'était ce rejeton de l'enfer, cette immondice de chair qu'elle avait épousé. Ce fut un feulement qu'il finit par pousser, incapable de se contenir. Car oui, elle avait évidemment délibérément ignoré toute tentative d'approche. Surtout depuis Halloween. Il était encore en furie. Et il s'était lancé à corps perdu dans la bagarre, se déclarant comme Mangemort. Et elle était également en fuite, depuis ... Mais l'idée qu'ils soient tous les deux. Que cet étron ait tué leur famille et ose regarder sa soeur, mais pire, la toucher ... cela le rendait. physiquement. malade. Il se laissa glisser contre un mur, haletant de rage; tentant vainement de se calmer, il s'exhorta à penser à autre chose, à ne pas laisser la bête gagner. La bête ... encore une sombre histoire. Une de plus. Une cicatrice de plus sur son corps. Un fardeau de plus à porter.
Comme s'il était à ça près ... Secouant la tête, il se la cogna contre le mur une fois, deux fois. Pour reprendre ses esprits. Pour ne pas partir, maintenant, sans rien d'autre que sa baguette, pour écumer Londres à la recherche de cette ordure et le tuer. Pas d'un coup de baguette. De plusieurs. Il ne pourrait jamais avoir physiquement le dessus. Et quand bien même, le passer à tabac comme il l'avait fait pour lui ne serait pas suffisant. Non, il fallait qu'il ...
La pensée le calma, d'un coup, d'un seul. Comme un seau d'eau gelée qu'on aurait jeté sur le demi-loup en furie. Mais oui ... pourquoi n'y avait-il pas pensé plus tôt ?
Il n'y avait qu'une seule manière de remettre les compteurs à zéro. Une seule. Il allait trouver les siens. Il séduirait s'il le fallait. Il mentirait, il tromperait. Il les torturerait. Et il les tuerait tous.
Pour qu'il se rende compte. Pour qu'il sache. Pour qu'il souffre.
Pour qu'il en crève.
Deux paumes à plat sur le sol. Il était de nouveau debout. Chaque geste était mesuré. Il épousseta ses vêtements, lentement, en prenant son temps. Remit sa manche en place au-dessus de la Marque. Il n'oublierait pas, bien entendu, son allégeance et son objectif principal. Mais il venait de prendre une résolution. De se fixer un but. Et il allait l'atteindre. Parce qu'il s'appelait Nott. Et que, n'en déplaise à qui que ce soit, ce nom signifiait encore beaucoup. Savoir. Manipulation. Courage. Honneur. Et même s'il devait s'agir de la dernière chose qu'il ferait sur Terre, la vengeance serait sienne.
Dernière édition par Merlin Nott le Jeu 11 Mai - 23:03, édité 12 fois |
| | | Parchemins : 281 Crédits : lux aeterna, scarred euphoria, beylin, & tumblr. Âge : 38 ans (27.07.1914). Sang : sang mêlé, on se moque de la pureté. Allégeance : Grindelwald, on suit un homme qui a offert une nouvelle vie. Sa mort chamboule le monde, mais poussé par une habitude étrange, on continue de servir sa mémoire. Profession : Chasseur de créatures magiques, on vit pour la tradition familiale. Chef de la milice, on s'enivre de la destruction. Ancienne école : Mahoutokoro, on a connu le Japon avant de connaitre l'Angleterre. Priori Incantatem am i free?: yes Inventaire: code couleur: #DC7633 | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Jeu 20 Avr - 23:42 | |
| OUIIIIIIIIIIIIIII OUIIIIIIIIIIIIII OUIIIIIIIIIIIIIIIIII Tu es aussi faible que moi et c'est ca qu'est bon Rebienvenue par ici beybey, trop de love sur toi, et j'ai trop hate de pouvoir RP avec toi again To be or NOTT to be, that seems to be quite a difficult question. > jpp de toi |
| | | Isidore Murdarovnothing left to lose Parchemins : 448 Crédits : luaneshë (avatar), Beylin (code signa), Tumblr (crackship et gifs signa) Âge : vingt-sept ans et pourtant l'impression d'avoir déjà vécu un siècle. Poupée usée qu'on a cru pouvoir briser. Sang : S'il a un jour été pur, le sang des Nott n'est aujourd'hui plus que souffrance et regrets. Mêlé. Allégeance : Lux. Elle ne s'en cache plus vraiment, Isidore. C'est crié comme un défi lancé au monde, c'est assumé avec fierté - l'âme marquée du sang de ses ennemis. Profession : Chiromancienne et diseuse de bonne aventure, les mensonges se professent entre ses lèvres alors qu'elle garde un capuchon vissé sur ses cheveux roux. Ancienne école : Poudlard, chez les Serdaigle. Mais tout a changé depuis et l'Isidore de Poudlard n'existe plus. Priori Incantatem am i free?: yes Inventaire: code couleur: #996699 | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Jeu 20 Avr - 23:44 | |
| Moi quand Thaïs m'a dit que Merlin t'intéressait: Moi quand je t'ai vue inscrite: En gros je suis trop contente, on va trop s'amuser avec tout ce drama JE SUIS BONHEUR. (Et bienvenue tout ça tout ça Si tu as des questions tu sais où me trouver ) |
| | | Caerwyn LestrangeMorsmordre Parchemins : 677 Crédits : lolitaes Âge : Trente ans Sang : Le sang pur, et une tradition à laquelle il ne compte pas déroger. Allégeance : Il porte la Marque des Ténèbres Profession : Ancien chef de la brigade magique Ancienne école : Serpentard Priori Incantatem am i free?: no Inventaire: code couleur: seagreen | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Ven 21 Avr - 10:10 | |
| Bon retour parmi nous et bon courage pour ta fiche, mais ça devrait aller, t'es bien entouré |
| | | | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Ven 21 Avr - 10:23 | |
| merlin, te voilà enfin. si tu savais à quel point t'étais attendu. et sinon, perseus est le parrain de ta soeur. vu la façon dont tu l'as traitée, va falloir qu'on cause lien toi et moi. |
| | | Parchemins : 320 Crédits : Lux Eternae Âge : 31 yo Sang : Sang-Mélé, dû à un manque de visibilité sur les statuts des arrières grands parents. Allégeance : En apparence pro-régime, en raison de son poste au ministère, Kieran fait semblant de courber l'échine pour accomplir sa vengeance. Il a déja aidé les mangemorts, une fois, mais on ne l'y reprendra plus : son allégeance réelle va aux Lux, plus par manque d'un autre choix que par convictions, mais ce sont les seuls qui ne mettront pas à feu et à sang le pays dans une quête absurde de pouvoir. Profession : Juge d'instruction au Magenmagot Ancienne école : Serdaigle Priori Incantatem am i free?: yes Inventaire: code couleur: steelblue | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Ven 21 Avr - 11:04 | |
| rebienvenue alors merlin, rien que ça, jvois que y'a des parents qui ont le melon |
| | | Parchemins : 224 Crédits : Shiya Âge : 34 Sang : Pur Allégeance : Mangemorts Profession : Avocate au Magenmagot Ancienne école : Poudlard | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Sam 22 Avr - 4:30 | |
| rebienvenue à toi |
| | | Parchemins : 242 Crédits : croco. Âge : 29 ans Sang : Sang pur Allégeance : Grindelwald Profession : Propriétaire d'une l'entreprise de baguettes Ancienne école : Durmstrang Priori Incantatem am i free?: yes Inventaire: code couleur: | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Dim 23 Avr - 0:21 | |
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| | | | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Dim 23 Avr - 17:50 | |
| Yevguégnégné (non mais sérieux t'as voulu faire concurrence à Lily ? /sbaf/) : EVIDEMMENT QUE JE SUIS FAIBLE, SALE PETITE FOURBASSE DE MON COEUR Hâte de re-RP avec toi aussi, vile tentatrice, on va encore avoir MOULT DRAMA et tmtc que c'est ça qui est bon Isi : Haaaaaaaaaaaan Non mais en même temps, en regardant les scénas j'ai juste su que j'étais foutue. Arrête de créer des persos trop bien, mon petit coeur n'est pas équipé pour y résister !!! On va faire de grandes choses et je m'en vais te trouver de ce pas Caerwyn : Merciiii ! On va faire ce qu'on peut et essayer de ne pas décevoir, surtout ! Perseus : Ouiiiii j'ai cru comprendre mais en vrai ça met beaucoup la pression, ce genre de trucs Et avec plaisir pour le lien, je SAVAIS que j'allais encore me faire des amis en choisissant ce scéna Kieran : Thanks ! Et pour le prénom, que veux-tu, y a des gens qui avaient de grandes ambitions ... qui sont parties en fumée (mouahahah #humournoir) Lilyan : Merci !!! Mihayl : Danke !!! Je vais essayer de retrouver mes marques rapidement |
| | | | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Lun 24 Avr - 12:03 | |
| - Citation :
- To be or NOTT to be
j'ai ri sinon, t'es beau dis donc rebienvenue parmi nous à ce que j'ai compris et je serais bien intéressée par un lien je pense |
| | | | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Dim 30 Avr - 22:10 | |
| We want more to read Alors je pose mes fesses dans le coin Bienvenue/Rebienvenue et bon courage pour le reste |
| | | | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Jeu 11 Mai - 23:07 | |
| Et c'est ENFIN FINI, désolée pour le délai Atalante : Merciiiiii et avec GRAND PLAISIR pour le lien, on va discutailler Viona : Viens par là toi Me voilààààà |
| | | Isidore Murdarovnothing left to lose Parchemins : 448 Crédits : luaneshë (avatar), Beylin (code signa), Tumblr (crackship et gifs signa) Âge : vingt-sept ans et pourtant l'impression d'avoir déjà vécu un siècle. Poupée usée qu'on a cru pouvoir briser. Sang : S'il a un jour été pur, le sang des Nott n'est aujourd'hui plus que souffrance et regrets. Mêlé. Allégeance : Lux. Elle ne s'en cache plus vraiment, Isidore. C'est crié comme un défi lancé au monde, c'est assumé avec fierté - l'âme marquée du sang de ses ennemis. Profession : Chiromancienne et diseuse de bonne aventure, les mensonges se professent entre ses lèvres alors qu'elle garde un capuchon vissé sur ses cheveux roux. Ancienne école : Poudlard, chez les Serdaigle. Mais tout a changé depuis et l'Isidore de Poudlard n'existe plus. Priori Incantatem am i free?: yes Inventaire: code couleur: #996699 | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now Ven 12 Mai - 9:20 | |
| Félicitations ! bienvenu(e) sur Mudbloods & Murmurs tes premiers pas parmi nous Cette fiche parfaite. J'aime vraiment beaucoup ta façon de t'approprier le scénario (je me faisais pas de soucis en même temps ) et j'ai hâte de jouer tout ça (DRAMA!) Et puis ça me fait trop plaisir de te lire de nouveaaaaau Tout d'abord félicitations et bienvenu(e) sur Mudbloods & Murmurs! Maintenant que ta fiche est validée, il te reste juste quelques petites étapes avant de pouvoir commencer à RP parmi nous! Tout d'abord, n'oublie pas de vérifier dans le bottin des avatars que ton avatar t'a bien été réservé, ainsi que dans les différents listings, afin de vérifier que tu es correctement recensé. Il est également obligatoire de passer remplir les quelques informations dont nous avons besoin dans ce sujet de recensement. Tu n'auras ensuite plus qu'à créer ta fiche de liens afin de pouvoir commencer à trouver toutes sortes de liens plus farfelus les uns que les autres avec les autres joueurs Mais par dessus tout n'oublie pas de t'amuser et de prendre du plaisir à RP. On a hâte de lire toutes vos histoires et on cale d'ors et déjà un bisou sur vos fesses. N'oubliez pas qu'en cas de question/demande ou quoi que ce soit d'autre, tout le staff est à votre disponibilité par MP, chouette, beuglante ou crieur CORRUPTION WILL HAUNT YOU ↓ MUDBLOODS AND MURMURS |
| | | | Sujet: Re: Merlin - If you could see me now | |
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