| | Asha - « the fever began to spread » | |
| | Sujet: Asha - « the fever began to spread » Mer 17 Aoû - 20:10 | |
| Becker Olivia Ashapetite citationA little taste of magic on your lips▲ Nom : Becker, hérité de son père, issu d'une famille américaine de sorciers respectés pour leur fortune et leurs intérêts hauts-placés. ▲ Prénom : Asha, prénom donné par sa mère biologique avec qui elle a vécu les huit premières années de sa vie. D'origine indienne il symbolise le désir et l'espoir. Olivia, son deuxième prénom lui a été donné par sa mère adoptive estimant qu'il correspondait davantage aux valeurs de la prestigieuse famille Becker. ▲ Date et lieu de naissance : Brooklyn, New York le 13 décembre. Enfant né d'une relation adultère. ▲Nature du sang : Sang-mêlé. ▲Profession : Détective privé.Un choix animé par une curiosité sans égal mais également un cruel désir de justice. Repoussant chaque jour la lutte contre ses démons intérieurs, Asha exerce son activité à la recherche de ses limites, payée à l'adrénaline. Riche héritière, l'argent l'importe peu, ce qui assure à ses clients une infaillible loyauté, parfois contre-balancée par un certain manque de sang-froid. ▲Statut matrimonial : Le fort besoin d'indépendance et la terreur de l'abandon font d'Asha une éternelle célibataire. Pour autant, la vie l'ayant doté de certains atouts physiques, elle se laisse parfois aller à de brèves aventures. ▲Ancienne maison (ou école pour les bulgares) : Elève à Poudlard, le Choixpeau l'a assignée à Serpentard. Rusée, intelligente et observatrice, c'est finalement son indépendance, ses ambitions et convictions qui lui ont permis de s'intégrer sans difficulté dans sa nouvelle maison. ▲Patronus : La louve, forte, solitaire, instinctive et défensive. Définitivement habitée par une envie de grands espaces, se débattant chaque jour pour se libérer de ses chaînes. ▲Baguette Magique : Bois de châtaignier, ventricule de dragon, vingt-huit centimètres, particulièrement rigide. ▲Particularité : Aucune. ▲Amortentia : Le parfum des chocogrenouilles, qu'elle a l'habitude de déguster les soirs de planque, mélangé à l'odeur de vieux livres qui lui rappellent ses jours de solitude passés à étudier les sorts et potions les plus complexes. ▲Epouvantard : Elle n'en a jamais vu, et c'est très bien comme ça, les peurs sont irrationnelles. Je jure solennellement de faire usage du sortilège Protego pour servir ma cause | |
"Parlez-nous un peu de vous. Si vous deviez vous décrire en quelques mots que diriez-vous ?" Sa vie est un champ de bataille, son corps criblé des blessures de son passé. Une quête infernale vers ce qu'elle est vraiment. Perdue dans les méandres de ce qu'on lui a imposé d'être et ses propres désirs, Asha personnifie le paradoxe. Un physique chaleureux, un abord brut et incisif protégeant une sensibilité délicate, un cœur vert, à peine éduqué aux choses de la vie. Depuis qu'elle a quitté sa mère biologique, Asha se laisse étouffer par Olivia, enfant façonné à l'image de sa belle-mère. Persuadée de l'existence de standard humain de bienséance, tabassée par l'idée que ressentir c'est être faible. Enfermée dans son carcan de violence, habitée par le sentiment que pour vivre bien il faut être prédateur, cette énergie négative la consume jusqu'à l'asphyxie. A avoir tant forcé son caractère, renforcé sa carapace, Asha s'est empêchée de vivre. Elle ne connaît que peu le plaisir, et s'interdit d'aimer. C'est dans la solitude de ses affaires qu'elle s'amuse, exploiter sa curiosité la rend heureuse et rétablir la justice renforce son égo. Pourtant, il ne suffirait que d'une étincelle pour que surgisse l'enfant fragile, brisé, ignoré pendant trop longtemps.
"Grindelwald domine l'Angleterre et la Bulgarie depuis 6 ans en quoi cela-t-il influé sur votre quotidien ?" Il y a six ans, Asha quittait la maison familiale. Respectée pour son nom, et crainte pour sa fortune, Asha n'a pas été directement impactée par les changements qui se sont opérés dans le monde des sorciers, en réalité, trop obsédée par ses propres démons elle n'y prêtait pas grande attention. Lorsqu'elle s'est installée comme détective privé, la réalité sordide des relations humaines l'a profondément touchée, longtemps mise de côté par ses propres parents, elle s'est reconnue dans le mal-être de certains de ses clients, et s'est indignée du sort réservés à ceux dont les parents n'étaient pas dotés du don de la magie. Consciente de ses capacités et disposant de ressources et relations permettant l'organisation de mouvements discrets, elle s'est associée à la rébellion dans l'espoir de voir un jour renaître la justice.
"Vous voyez un passant dans la rue se faire malmener par deux spaseni, serviteurs de grindelwald, que faites-vous ?" Asha observerait la scène un moment, attendrait de desceller les faiblesses des agresseurs. Au fond de son estomac grandirait un sentiment de colère, un besoin ardent de protéger son prochain, au dépens de sa propre vie. Ce sentiment, elle l'ignorerait au profit d'une approche plus discrète et noble. Au moment opportun, Asha ferait un usage prudent, mais efficace, de sa baguette afin d'éloigner les bourreaux. Et, non sans un regard de dégoût pour la chétive victime, tournerait les talons. Ce n'est pas son sang, ni son allégeance, qui la répugnerait autant, mais bien son statut de martyr, de souffre-douleur, son irréfragable faiblesse.
« Vous voila devant le miroir du Riséd, que pensez-vous y voir ? » Asha s'y verrait tenir la main de sa mère, celle qu'elle avait perdu et à qui elle voudrait raconter tant d'histoires. Elle la verrait vieillie, comme si elle n'avait jamais disparu, comme si elle l'avait accompagnée à chaque instant de sa vie. Elle la verrait sourire, fière de ce qu'elle avait accompli, fière d'être la mère d'une enfant exceptionnellement heureuse. Derrière elle, se trouverait une immense maison, à la fenêtre de laquelle se tiendrait son père, agitant une main pour les alerter que le dîner était servi. Dans le miroir du Riséd, Asha verrait une vie normale.
« Par chance, vous vous trouvez en présence des trois reliques de la mort, mais vous ne pouvez en choisir qu’une. Laquelle prendriez-vous ? » Asha ne choisirait pas la pierre, elle avait appris de son passé, que chacune des épreuves traversées avaient un sens, qu'il n'existait pas de hasard. Ce n'est ni la mort de sa mère biologique, ni la mort de son père qui la hantaient, mais l'injustice qui imprégnait les circonstances de leurs disparitions. Aspirant toujours à être première et emprise à un cruel désir de vengeance Asha observerait longtemps la baguette. Mais elle s'en détournerait, réalisant la contre-productivité de ses sentiments. Pragmatique, elle s'emparerait finalement de la cape qui s'avérerait nettement plus utile dans sa profession de détective privé. | ▲ pseudo ou prénom : Creamco. ▲ âge : Vingt-deux ans. ▲pays : France. ▲ Connexion : Un peu tous les jours dans l'idéal ! ▲ scénario ou inventé : Inventé. ▲ avatar : Jenna Louise Coleman. ▲ Où avez-vous connu le forum ? : Par un heureux hasard ! ▲ quelque chose à rajouter : #keurkeurlov ▲ crédits : dearestmelly@tumblr (gifs) ; moi (avatar) |
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Dernière édition par Asha Becker le Lun 22 Aoû - 18:17, édité 7 fois |
| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Mer 17 Aoû - 20:11 | |
| Mudbloods and murmurspetite citationÉcrire votre histoire ici sous la forme souhaitée et dans un minimum de 500 mots. J'ouvrais la fenêtre. Le vent qui s'était levé quelques minutes auparavant, emplissait peu à peu ma chambre d'un air frais et humide, chassant avec peine la chaleur étouffante qui y avait régné pendant plusieurs semaines. Les rues désertes étaient hantées par la valse frénétique des feuilles d'arbres. Le ciel était gris, gorgé de tristesse et de rage, il semblait sur le point de se briser en milliards de petites larmes. L'orage avait inquiété la ville toute la journée et la tension instense qui opposait les éléments fascinait mon cœur d'enfant. Plusieurs heures s'étaient écoulées sans que mon intérêt ne s'épuise. Dans ce paysage désolé, théâtre de l'apocalypse, apparurent un homme et une femme que je n'avais jusqu'à lors pas remarqué malgré mon sens aiguisé de l'observation ; comme par magie. Ils étaient vêtus de robes sombres d'une finesse étrangère à notre train de vie à ma mère et moi. Du premier étage, je pouvais sentir les effluves de leurs parfums ensorcelants et délicats, transportés jusqu'à moi par le souffle du vent. Ces gens-là n'habitaient pas notre pauvre quartier, personne ici n'aurait les moyens d'approcher leur impeccable élégance. Pour autant, il n'était pas rare de voir des étrangers arpenter nos rues, sonner à nos portes. Des créanciers excédés, en quête du remboursement de leurs prêts parfois avec plus de violence que de raison. En pareille situation, ma mère, étouffée par les dettes, avait pour habitude de se cloîtrer dans la salle de bain, dépourvue de fenêtre, priant pour que dans leur frénésie, ils n'enfoncent pas les portes de la maison. Mais aujourd'hui, ce n'était pas le cas, je l'entendais faire les cent pas devant la porte de ma chambre, à un rythme militaire. Puis elle se décidait à descendre. De longues minutes s'étaient écoulées depuis que les deux inconnus s'étaient présentés devant l'entrée, mais ils ne semblaient pas s'être découragés. C'est alors que je vis ma mère apparaître sur le palier. Je ne pouvais distinguer que quelques sons, et la discussion semblait calme. Pour autant, ma mère gardait la tête baissée face aux deux imposants inconnus. Ils entrèrent. Impossible d'ignorer la curiosité qui chatouillait mes entrailles. La nuit venait de tomber et avec elle, les premiers éclairs. J'évoluais donc dans la pénombre, sur la pointe des pieds afin de ne pas être découverte. Sur mon chemin, j'excellais dans l'esquive des divers obstacles qui criblaient la structure de cette vielle baraque. La planche branlante du parquet devant ma porte, la marche d'escalier brisée et la rambarde grinçante. A pas de chat, je me dissimulais finalement derrière le vaisselier de l'entrée qui servait de séparation entre le hall et le salon, dans lequel se déroulait la scène qui éveillait mes indiscrétions. « Nous partons ce soir pour Londres, afin d'éviter les soupçons sur l'origine de l'enfant. Les rumeurs d'infidélité détruiraient la réputation de notre famille. Comme convenu nous emportons l'enfant avec nous contre la somme de cinquante mille dollars, puis vous disparaîtrez de nos vies. » Elle marquait un temps d'arrêt. « Définitivement. Maintenant que vous êtes parvenue à vos fins, nous ne tolérerons plus aucune menace, aucun ultimatum. Vous le regretteriez instantanément. »La voix de ma mère s'éleva, douce et fragile, inévitablement dominée par la dureté de notre invitée. « Elle s'appelle Asha, l'enfant s'appelle Asha, prenez bien soin de ma fille. ». Je ne pouvais pas y croire. « Peu importe. » C'était impossible. « Anna » grondait le dernier invité, jusque là particulièrement silencieux. « C'est toi qui nous a coincé dans cette situation intenable en séduisant la première venue, alors je te prierai de ne pas faire de commentaire Henry. »« Elle nous entend. »Mon corps dévasté par la tragédie, s'était agité de légers spasmes, suffisants pour faire tinter la vaisselle que contenait l'imposant meuble auquel je m'étais adossé. Ma position était ainsi découverte, pourtant, je rêvais de disparaître. La colère entamait son parcours pervers au sein de mes entrailles, dévorant, avide, la moindre partie de mon corps, consumant peu à peu toute mon énergie physique et psychique. Sous sa torture mes muscles se sont raidis, ma gorge s'est nouée étouffant quelques derniers sons « Pardon maman, je serai sage, ne m'abandonne pas ». Autour de moi des voix, parfois aiguës et saccadées, parfois graves et sereines me parvenaient. Des cris, des pleurs dont je ne comprenais pas la signification. Deux bras puissants m'élevaient du sol, sans que je ne puis rien y faire malgré mes violentes protestations, purement instinctives. Dans les bras de cet homme, qui se trouvait être le père que je pensais disparu, je quittais ma maison de toujours, ma mère, tout ce que j'avais connu. Dans un grondement effroyable, la pluie venait de s'abattre sur New York, fracassant avec fureur le sol de Brooklyn, mon visage, mon coeur. ♠ La maison de Londres était immense. Il me fallut presque une semaine entière pour en découvrir tous les recoins. Un véritable choc des cultures, un monde d'abondance dans lequel je ne trouvais pas ma place. Anna Becker, que l'on m'imposait d'appeler « mère », passa les premières années de notre vie commune à me convaincre que ma mère biologique était une femme cruelle et vénale. J'ai éventuellement fini par la croire, et par la chasser de mes souvenirs tant la douleur de l'abandon me dévorait. Je me suis façonnée, petit à petit, une carapace à l'image de ma nouvelle famille, lisse, dure et orgueilleuse. J'ai tenté de me complaire dans la luxure, jeme suis même approprié l'accent britannique, plus « élégant », plus « convenable ». De toutes ces façons j'espérais qu'Anna puisse un jour m'accepter en tant que fille, mais je n'étais toujours qu'un encombrement, la personnification d'un secret répugnant, à côté de ses deux fils parfaits. ♠ Mon père était un homme secret, je pense l'avoir peu connu. Il appréciait peu la compagnie, préférant se morfondre dans une solitude toute relative, car dans le silence de son fumoir vivaient ses démons intérieurs. Le fumoir était une pièce obscure, éclairée sobrement par d'imposantes bougies qui lui conféraient une ambiance feutrée et énigmatique. Dépourvue de fenêtre, et malgré l'installation de petites aérations, l'odeur du tabac froid s'y était profondément imprégnée. Une senteur nocive, intentionnellement préservée pour chasser les indésirables. Je n'avais pas le droit de me tenir ici, pourtant, je n'étais pas tellement inquiète, plutôt troublée par l'intensité de l'atmosphère qui y était installée. La porte s'ouvrit, et, dans une démarche prodigieusement nonchalante, mon père était entré. Parcourue d'une décharge d'adrénaline, je préparais rapidement mon infaillible excuse. « C'est mon anniversaire. » En ce treize décembre, comme à l'accoutumée, personne ne m'avait souhaité mon anniversaire. J'avais pris l'habitude d'être complètement marginalisée, mais dans l'intérêt d'éviter quelconque punition, j'espérais faire naître chez mon paternel une certaine culpabilité. « Je sais. »Prise à mon propre jeu, j'essayais de déceler le mensonge, mais la légère tristesse présente dans ses yeux, ordinairement inflexibles, finit de me convaincre de son honnêteté. Nous avions alors caressé, du bout des doigts, ce que j'imaginais être une relation entre un père et une fille. Par une chose aussi simple que de connaître une date d'anniversaire. J'esquissais un très léger sourire, assez pour lui prouver ma satisfaction mais sans trop en faire pour ne pas importuner sa politesse. Il se mit à se mouvoir anxieusement dans cette pièce relativement étroite, comme désorienté, indécis. Dans ce silence s'étaient écoulées plusieurs minutes, le temps pour moi d'écouter les démons occupants murmurer leur malaise. Peut-être souhaitaient-ils enfin se présenter. « J'aurais pu t'offrir une autre vie. »Regret, il me heurta comme la première vague d'un océan tourmenté, assoiffé de rédemption, enfermé dans un cycle éternel. « Tant de talent et d'intelligence mis de côté. » De sa main tremblante, Regret me saluait. « J'aurais dû t'emmener avec moi, loin de cette marâtre désaxée. » Et s'éclipsait aussitôt sans que je n'eus l'occasion de le rassurer.« Tu ne dois pas croire tout ce que je lui ai laissé te raconter sur ta mère ». Culpabilité, la délicate et vicieuse, entre deux silences caressait le crâne de mon père, prenant grand soin de lui rappeler qu'elle ne le quitterait jamais. « C'était une femme honnête, en aucun cas elle ne t'aurait échangée pour de l'argent. Elle voulait simplement que tu sois heureuse. »Vérité, abattue par le poids des secrets. Épuisée par la torture d'une vie solitaire. « Après ton départ elle a plusieurs fois essayé de nous contacter, pour nous rendre l'argent et pour prendre de tes nouvelles. Anna ne l'a pas supporté... ». Si longtemps contrainte au silence, chaque mot semblait lui infliger une peine infinie. « Tu es grande, tu as le droit de savoir... » Dans la panique, par peur de représailles sans doute, Vérité enserrait ma gorge, me suppliant d'abréger son supplice.« Ta mère est morte, Asha. »Passé le choc, le passage furtif de Colère, nous avons pleuré tous les trois. Mon père, Tristesse et moi. Finalement, les démons se sont apaisés, avec eux nos corps, et mon père et moi nous sommes enlacés, pour la première fois. Dans un murmure tranquille, son cœur se livra. « Pardon ma fille, je t'aime ». ♠ Nous nous étions implicitement mis d'accord sur le fait que cette conversation ne pouvait avoir aucune répercussion concrète sur nos vies. La pudeur nous l'interdisait, mais au-delà de ça, il était inconcevable qu'Anna ou mes frères ne puissent ne serait-ce que soupçonner l'existence de ce rapprochement. Pour autant, mon quotidien avait été profondément chamboulé. Chaque jour, en moi grandissait la haine à l'égard de celle qui avait commandité l'assassinat de ma mère, celle qui m'avait menti. Je me sentais changer, m'endurcir chaque jour un peu plus et apprécier la douce attente qui me séparait de mon inévitable vengeance. Je ne me suis jamais autorisée à pardonner mon père, pour autant, lorsqu'il est subitement tombé malade, je me suis efforcée de lui apporter toute l'attention nécessaire. Sur son lit de condamné, nous nous sommes de nouveau prêté à l'exercice de la discussion et avons échangé, en l'espace d'un mois, les mots de toute une vie. Ni mes frères, ni Anna, ne lui rendirent visite, plus excités par la perspective d'un héritage abondant, prévoyant achats luxueux et retour sur le continent américain, que terrassés par l'agonie d'un compagnon et père. Leurs plans prirent l'eau lorsque la dernière heure patriarcale sonna car toute sa fortune, par testament, m'était léguée, à l'exception de quelques sous pour ses deux autres fils. Je devenais le centre de toutes les attentions au manoir Becker,je pris le temps de m'en délecter. J'étais destinataire de l'attention pour laquelle j'avais tant travaillé enfant, tous à genoux devant celle qui, dans son porte-feuille disposait du pouvoir de maintenir leur train de vie luxueux. Le jour de mes vingt ans, décidant qu'il était temps de conclure ma revanche, je vendais la propriété de Londres ainsi que celle de New York et partais m'offrir une toute autre vie, laissant Anna Becker dans le plus grand désarroi. Sans le sou, elle s'était installée chez un de ses fils, maudissant cette fille ordurière et indigne, regrettant de ne pas l'avoir exterminée lorsqu'elle en avait encore le pouvoir. J'installais mon entreprise de détective privé, incapable de me reposer sur l'incroyable héritage de mon père. Il me fallait du mouvement, de l'action, pour éviter de me confronter à l'enfant brisé qui sommeillait en moi. Pratiquant des tarifs écrasant toute concurrence, je n'eus que peu de mal à attirer mes premiers clients. La plupart, marginalisés, disposant de peu ou pas de revenus, étaient en grande majorité des nés-moldus. C'est en écoutant leurs histoires sordides que je réalisais le drame qui habitait le monde sorcier. Je décidais de participer au rétablissement de la justice et de l'égalité, toujours en quête de ma dose d'adrénaline, et décidais de mettre toutes mes ressources au service de la rébellion. CORRUPTION WILL HAUNT YOU ↓ MUDBLOODS AND MURMURS
Dernière édition par Asha Becker le Lun 22 Aoû - 18:27, édité 25 fois |
| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Mer 17 Aoû - 23:56 | |
| Oh la jolie Jenna, et le pseudo, j'aime beaucoup Bienvenue et bon courage pour ta fiche Edit: j'viens de capter que tu voulais peut-être poster un autre bout d'histoire et que mon post dérange peut-être, donc si c'est le cas j'enlèverai mon cul de la promis |
| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 0:28 | |
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| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 1:13 | |
| Jenna omg je meurs. Si Asha fête ses 27 ans en décembre, ça veut dire qu'elle et Milo sont de la même année. Nous faudra donc quelque chose. Bienvenue ici et bonne fiche. Hâte de te lire. |
| | | | | | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 9:38 | |
| bienvenue parmi nous beauté si tu as des questions n'hésite pas à demander et bon courage pour ta fiche !! |
| | | Melpomène Lestrangelive like legends Parchemins : 3965 Crédits : Tearsflight (avatar), LAZARE (codage signature), MØRK (gif profil + signa) Âge : 25 ans à se battre pour le pouvoir. Sang : Le sang des Black est pur, ode irrévérencieuse à la noirceur de leurs âmes, liquide vermillon qu'ils ne sauraient gaspiller. Sang royal où se mélange magie noire, ambition incontrôlée et soif de pouvoir. Allégeance : Marque des Ténèbres assumée, Melpomène fait partie des Mangemorts. Loyale servante depuis les premières heures de Voldemort. Profession : Melpomène travaillait autrefois à la morgue, embaumant derrière elle les secrets des siens. Aujourd'hui fugitive. Ancienne école : Poudlard dans une maison bordée d'émeraude - berceau de rencontres qui ont changé le cours de sa famille et qui ont façonné un destin aussi sombre que son patronyme. Priori Incantatem am i free?: no Inventaire: code couleur: #CF8C8C | | | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 10:52 | |
| Bienvenue et bon courage pour ta fiche J'aime l'idée du job, j'ai hâte d'en voir plus |
| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 13:08 | |
| Oh une détective. Et Jenna. Bienvenue et courage pour ta fiche. |
| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 13:33 | |
| Bienvenue :) C'est un super choix d'association ^^ Il nous faudra un truc aussi du coup :P |
| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 13:45 | |
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| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 19:41 | |
| Le pseudo Jenna Le début de fiche Bienvenue parmi nous et bon courage, elle promet d'être top cette petite Asha |
| | | | | | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 21:02 | |
| Je valide les propos de Melpo, cet avatar est magnifique et puis Jena quoi, je bave un peu Bienvenue sur M&Ms, j'ai hâte d'en apprendre plus sur Asha et en attendant, j'espère que tu te sentiras ici comme à la maison |
| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Jeu 18 Aoû - 22:03 | |
| Excellent choix, ça promet du pâté tout ça Bienvenue à la maison, bon courage pour la suite |
| | | | | | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Sam 20 Aoû - 19:13 | |
| Bienvenue Bon courage pour ta fiche |
| | | | | | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » Lun 22 Aoû - 19:28 | |
| Félicitations ! bienvenu(e) sur Mudbloods & Murmurs tes premiers pas parmi nous maintenant que j'ai tout bien compris je kiffe t'a toujours une aussi jolie plume beauté nous faudra des liens ... avec tous mes comptes courage Tout d'abord félicitations et bienvenu(e) sur Mudbloods & Murmurs! Maintenant que ta fiche est validée, il te reste juste quelques petites étapes avant de pouvoir commencer à RP parmi nous! Tout d'abord, n'oublie pas de vérifier dans le bottin des avatars que ton avatar t'a bien été réservé, ainsi que dans les différents listings, afin de vérifier que tu es correctement recensé. Il est également obligatoire de passer remplir les quelques informations dont nous avons besoin dans ce sujet de recensement. Tu n'auras ensuite plus qu'à créer ta fiche de liens afin de pouvoir commencer à trouver toutes sortes de liens plus farfelus les uns que les autres avec les autres joueurs Mais par dessus tout n'oublie pas de t'amuser et de prendre du plaisir à RP. On a hâte de lire toutes vos histoires et on cale d'ors et déjà un bisou sur vos fesses. N'oubliez pas qu'en cas de question/demande ou quoi que ce soit d'autre, tout le staff est à votre disponibilité par MP, chouette, beuglante ou crieur CORRUPTION WILL HAUNT YOU ↓ MUDBLOODS AND MURMURS |
| | | | Sujet: Re: Asha - « the fever began to spread » | |
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